Le président 2011

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"Quand le gouvernement viole les droits du Peuple, l'insurrection est

pour le Peuple et pour chaque portion du peuple le plus sacré des droits,

et le plus indispensable des devoirs"

Article 35 de la Déclaration des Droits de l'Homme et du citoyen du 24 juin 1793


mardi 1 février 2011

A Boulogne Billancourt, la vidéosurveillance ne sert… à rien

 Le Monde.fr
BUG BROTHER
Qui surveillera les surveillants ? Par Jean Marc Manach
15 février 2011
CCTVDans Paroles aux Français, répondant notamment à une pharmacienne de Nice qui avait été cambriolée quatre fois, Nicolas Sarkozy a de nouveau promu le recours aux caméras de vidéosurveillance, en se référant au modèle britannique.
Problème : non seulement la Grande Bretagne a précisément décidé d’enterrer la société de surveillance, mais les caméras de vidéosurveillance de Nice, l’une des plus vidéosurveillées en France, viennent précisément de démontrer leur inefficacité
Un rapport de la chambre régionale des comptes d’Ile-de-France vient par ailleurs de pointer du doigt la gabegie financière et politique du recours à la vidéosurveillance : non contente de ne pas réparer les caméras qui ne marchent pas, la mairie de Boulogne-Billancourt est infoutue d’expliquer à quoi celles qui marchent servent exactement.
En 2004, Rémi Lescoeur, conseiller municipal Verts de Boulogne-Billancourt, ironisait sur le projet de vidéosurveillance de la ville :
Je voudrais féliciter M. Jalenques (le maire adjoint chargé de la sécurité, NDLR) que son projet soit passé de 63 caméras à 46, puis à 32, puis à 12, pour finir à 4 caméras placées à des endroits absolument sans risques, mais avec une dépense 180 000 € ! Encore un effort et nous pourrons atteindre le 0 caméra et affecter avantageusement ce budget à des emplois de proximité.
Taquin, son collègue Jean-Luc Richard n’en rajoutait pas moins que “le choix des emplacements pour ces 4 caméras laisse songeur, puisque la police aura la possibilité de surveiller les caméras et les caméras de surveiller la police“…
Trois ans plus tard, Le Parisien annonçait, en février 2009, l’installation de 27 caméras de vidéosurveillance supplémentaire à Boulogne-Billancourt, la deuxième ville d’Ile de France, en renfort des 6 caméras implantées 4 ans auparavant, avec ce slogan : “Boulogne-Billancourt ne doit pas devenir le Club Med des délinquants de l’Ouest parisien“.
A défaut d’être devenu un Club Med des délinquants, Boulogne-Billancourt est bel et bien devenu l’un des Clubs Med des vendeurs de caméras : ils sont payés même quand les caméras ne marchent pas !
Un rapport de la chambre régionale des comptes d’Ile-de-France sur la gestion de la commune de Boulogne Billancourt depuis 2002, qui vient d’être rendu public (.pdf), nous apprend en effet que ces 6 caméras sont “hors d’usage“, et que les autres ne servent pas à grand chose :
Dans le cadre d’une enquête commune à la Cour des comptes et aux chambres régionales des comptes relative à la sécurité publique, il a été relevé aussi un manque de suivi dans les actions engagées, à l’exemple du contrat local de sécurité ou des six premières caméras de vidéosurveillance aujourd’hui hors d’usage, en dépit d’une installation récente et des sommes conséquentes consacrées à leur implantation.
En 2002, une étude préalable à l’installation d’un dispositif de vidéosurveillance urbaine, réalisée, en juillet 2002, par un cabinet privé, suivie d’une étude complémentaire comprenant l’installation de 32 caméras en février 2003, prévoyait ainsi un budget d’investissement de 527 000 € HT et un budget de fonctionnement de 587 000 € HT.
Premier problème : “ce document n’a pas été soumis au conseil municipal et n’a pas été actualisé depuis cette date“…

Un système “sans cesse défectueux”, et “hors d’usage”

CCTVDeuxième problème : alors même que “certaines installations ont bénéficié de subventions importantes (Fonds interministériel de prévention de la délinquance, département, Etat)“, la chambre régionale des comptes dénonce un gaspillage de l’argent public :
Par ailleurs, en dépit des sommes importantes consacrées à leur acquisition, le fait que les six premières caméras de vidéosurveillance - bien que d’implantation récente - soient aujourd’hui hors d’usage reste difficilement compréhensible.
Le manque de maîtrise de ces infrastructures par la commune et l’inertie du directeur de la prévention et de la sécurité sont regrettables ; ainsi, en dépit d’un système qui n’a jamais fait l’objet d’une réception de chantier car il a été sans cesse défectueux, l’entreprise a néanmoins été payée pour une très large partie (124 156,98 € TTC sur 149 495,90 € TTC).
La chambre demande en conséquence à la commune de prendre rapidement les initiatives nécessaires pour remédier à cette situation dans le cadre d’une gestion rigoureuse des moyens.
Et lorsque les juges l’interrogent sur la pertinence de l’utilisation de ces fonds publics, le maire ne peut qu’avouer qu’il ne sait même pas si ses caméras servent à quelque chose, ou pas : “en l’absence d’évaluation du dispositif, le maire considère qu’il ne permet pas, à ce jour, de percevoir l’impact positif de la vidéosurveillance sur la délinquance

C’est dans notre programme électoral

Les magistrats estiment par ailleurs que “cette perception sur l’absence d’impact du dispositif peut aussi s’expliquer par la dégradation de certaines installations“.
Une bonne partie des caméras étant cassées, comment mesurer leur efficacité ? Mais pourquoi dépenser encore plus d’argent pour les réparer, puisqu’aucun dispositif d’évaluation n’a pu en démontrer l’efficacité ?
La chambre régionale des comptes ne peut dès lors que “regretter que, malgré l’ancienneté des déploiements des caméras et du nombre de réseaux, la ville ne se soit pas spontanément engagée dans la voie d’une évaluation des moyens importants qu’elle a consacrés à cet équipement.
Ce n’est pourtant pas faute, pour l’opposition, de l’avoir demandé. Ainsi, en septembre 2009, Jean-Michel Tisseyre, conseiller municipal socialiste, réitérait sa “demande de bilan concernant l’efficacité du système de vidéo surveillance, à savoir le calcul du ratio entre l’investissement en termes de matériel, sa maintenance et des ressources mobilisées en termes d’ETP (équivalent temps plein, NDLR) sur la diminution effective de délits dans les zones concernées“.
En réponse, Pierre-Christophe Baguet, député-Maire (UMP) de Boulogne-Billancourt, s’était fait bien plus prolixe que devant les magistrats de la chambre régionale des comptes. Extraits :
C’est traumatisant quand vous avez votre appartement cambriolé. Les gens se sentent violés dans leur intimité, dans leur vie. Pour toute la famille, c’est une véritable angoisse, les enfants sont inquiets, je peux vous l’assurer. Après l’infraction commise, il y a toujours des moments difficiles. Il faut bien intervenir.
Là-dessus j’ai toujours été clair, c’est dans notre programme électoral. Nous mettrons en place la vidéo-protection. Nous devons monter en puissance jusqu’à 35 caméras.
Ou comment mesurer l’efficacité de caméras, non pas à l’évolution de la délinquance, mais à la réalisation des promesses de campagne électorale…
Nul doute que les enfants traumatisés, tout comme leurs parents cambriolés, seront en tout état de cause contents de savoir si l’argent qui a été dépensé, en leur nom, pour leur sécurité, a servi, ou non, à limiter le nombre de cambriolages, d’agressions, d’arrestations et autres incivilités, crimes et délits. S’il n’a rien à cacher, pourquoi Mr Baguet se refuse-t-il ainsi à tirer le bilan de ses 35 caméras de vidéosurveillance ?

17 réquisitions seulement… en 3 ans

CCTVLe rapport ne précise pas combien de caméras ont été dégradées. Il est donc impossible de savoir combien des 35-6=29 caméras installées sont encore pleinement fonctionnelles. Il n’évoque pas non plus l’efficacité du système de vidéosurveillance.
Tout juste apprend-on que “8 réquisitions judiciaires ont été adressées au service de police municipale en 2007” par le commissariat, 8 autres en 2008 (”pour vol aggravé, violences en réunion, agression sexuelle, disparition, violence aggravée, deux extorsions aggravées, vol“), et qu’”il n’y a eu qu’une seule réquisition judiciaire en 2009“, soit 17 réquisitions judiciaires seulement, en 3 ans.
Le montant total de cet investissement ? 593 000 euros, dont 131 499 euros de subventions de l’Etat, et 95 651 du département, à quoi il convient de rajouter les salaires des trois agents municipaux en charge du “visionnage“, ainsi que le prix des études préalables confiées à la société Suretis… le tout pour 35 caméras, dont plusieurs ont été dégradées et 6 sont “hors d’usage“.

Circulez, y’a rien à voir

De là à penser que les caméras n’ont permis aucune arrestation, aucune identification, aucun rapprochement… On se dit que les magistrats l’auraient noté, dans leur rapport, parce que le maire s’en serait forcément vanté.. mais non.
Dans sa réponse à ce réquisitoire peu flatteur, le maire n’en mène pas large, ne prend même pas la peine de défendre ses caméras, et estime tout juste qu’il est urgent de… ne rien changer (.pdf) :
Un audit de la vidéo protection a été effectué et le déploiement de moyens complémentaires s’inscrira désormais, contrairement aux actions menées depuis 2004, dans un plan d’ensemble permettant d’améliorer significativement la capacité ciblée de réaction coordonnée des services de police municipale et nationale.
Pas un mot sur les conclusions de ce rapport d’audit, non plus qu’un semblant de début de réponse aux accusations à mots couverts de la chambre régionale des comptes de gaspillage de l’argent public, rien sur les caméras hors d’usage, sur celles qui ont été dégradées, sur leur apparente inefficacité…
Impressionnant, tout de même, toutes ces municipalités qui décident d’installer caméras et systèmes de vidéosurveillance au motif que “seuls ceux qui ont quelque chose à se reprocher” sont contre la “vidéoprotection“(voir Lettre ouverte à ceux qui n’ont rien à cacher) mais qui, dès que l’on commence à regarder de plus près à quoi servent (ou pas), leurs caméras, se fendent d’un laconique : “Circulez, y’a rien à voir“…

Il ne faut pas désespérer Billancourt

CCTVRésumons : la ville de Boulogne-Billancourt a dépensé entre 800 000 euros pour installer 35 caméras. Plusieurs d’entre-elles ont d’ores et déjà été dégradées, 6 sont “hors d’usage“, et la chambre régionale des comptes d’Ile de France peine à comprendre ce pourquoi la mairie ne… les répare pas.
Les magistrats, qui dénoncent également l’opacité qui a présidé à leur installation, s’étonnent en outre de l’absence de toute mesure d’efficacité de ces caméras, et notent que, sur 3 ans, le commissariat n’y a eu recours que… 17 fois seulement.
Le maire lui-même se déclare dans l’incapacité de “percevoir l’impact positif de la vidéosurveillance sur la délinquance“…
Dans les années 50, Jean-Paul Sartre avait déclaré à ses compagnons du parti communiste qu’”il ne faut pas désespérer Billancourt“, expression décortiquée par mes voisins les correcteurs du Monde.fr comme “voulant signifier par là qu’il ne faut pas forcément dire la vérité aux ouvriers, de peur de les démoraliser“.
Je ne voudrais surtout pas désespérer Billancourt. Mais c’est la seconde fois, en un an, que des magistrats chargés de vérifier la bonne tenue des comptes publics dénoncent les errements des édiles en matière de vidéosurveillance (voir L’impact de la vidéosurveillance est de l’ordre de 1%).
Sachant que les universitaires et chercheurs qui se sont eux aussi penchés sur la question sont eux aussi des plus critiques (voir Un rapport prouve l’inefficacité de la vidéosurveillance)… la question reste de savoir combien de temps les gens accepteront encore de voir gaspiller l’argent public de la sorte. Le problème n’est pas que politique ou idéologique : il est aussi économique.

La vidéosurveillance est à guichet ouvert

Pour mieux mesurer les raisons et l’ampleur de ce gaspillage, ainsi que l’hypocrisie des coupables de tels gaspis, la lecture du compte-rendu du conseil municipal de Boulogne Billancourt du 7 mai 2009 est un cas d’école. A ma gauche, Marie-Hélène Vouette, élue PS :
Nous sommes contre la multiplication de la vidéosurveillance dans notre ville, nous l’avons déjà dit. L’utilisation de cet outil dans un lieu spécifique particulièrement sensible pourrait à la limite se comprendre, mais la généralisation de la vidéosurveillance, largement inefficace en plus, on le sait, ne peut que porter préjudice aux libertés individuelles et, en plus, grignote des budgets qui seraient éminemment plus utiles pour des budgets sociaux, surtout en cette période de crise aigue.
Nous sommes d’accord pour récupérer des subventions pour aider les jeunes et prévenir la délinquance, mais certainement pas pour du matériel de vidéosurveillance, dont nous connaissons l’inefficacité en réalité et qui est l’amplification de cette attitude un peu paranoïaque dans la ville.
En vrac, elle proposait ainsi, et “dans le contexte d’aggravation de crise économique et sociale“, de mettre en place “des mesures concrètes et efficaces de prévention de la délinquance, en partenariat avec les acteurs locaux, notamment le monde associatif“, afin de “soutenir tous les acteurs locaux qui oeuvrent quotidiennement au travers des actions sociales, de citoyenneté et de solidarité“.
A ma droite, Thierry Solère, 1er maire-adjoint de Boulogne Billancourt, mais également vice-président du Conseil général des Hauts de Seine, qui reprit presque mot pour mot les éléments de langage utilisés en pareil cas par Brice Hortefeux et autres ténors de l’UMP :
Je suis triste de voir qu’à Boulogne-Billancourt, la gauche est encore dans ce débat idéologique un peu vieux sur la vidéosurveillance. Au Conseil général, on le voit avec Mme de Rose et Mme Godin, beaucoup de maires socialistes dans le département des Hauts de Seine ont compris que la vidéosurveillance était un moyen tout à fait efficace pour améliorer la sécurité dans une ville. Bien évidemment, à Boulogne-Billancourt, on met cela en place.
L’objet de leur dispute ? Une subvention de 15 000 euros du Fonds interministériel de prévention de la délinquance (FIPD), qui a fait de la “vidéoprotection” l’une de ses priorités, et qui finance à 100% certains de ces projets. Encore faut-il avoir l’aval du conseil municipal, ce qui est très généralement le cas, comme en témoigne cette explication de vote de Jean-Pierre Fourcade, ancien maire UMP de Boulogne, lors du conseil du 7 mai 2009 (.pdf) :
Nous voterons cette délibération parce que, pour faire plaisir à Mme Dubost (maire adjoint chargée des finances et du budget, NDLR), cela rapporte 15 000 € à la commune. Par conséquent, c’est une recette, et nous la voterons.
A ce niveau-là, ce n’est plus du populisme ni de la démagogie, c’est juste de la compta, sinon une B.A. Vidéosurveiller, c’est remboursé : pourquoi se priver ? Reste donc la question de son efficacité…
NB : Le département des Hauts de Seine comptabilise, selon Le Parisien, 24 000 caméras, dont 1200 sur des bâtiments publics, et 800 dans la rue. 22 des 36 communes du département sont vidéosurveillées.
Illustrations extraites d’une consultation publique visant à trouver la meilleure signalétique ès-vidéosurveillance.
Voir aussi :
Vidéosurveiller Fucking, quelle idée…
L’impact de la vidéosurveillance est de l’ordre de 1%
La Grande-Bretagne enterre la société de surveillance
Un rapport prouve l’inefficacité de la vidéosurveillance
Grande Bretagne : 10% des lycées vidéosurveillent leurs toilettes

jean.marc.manach (sur Facebook) & @manhack (sur Twitter)


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Vu sur Dailymotion: Biodiversité interdite ! Résistance Paysanne

Les graines naturelles sont hors la loi ! Un paysan n'est pas autorisé à en commercialiser les fruits et légumes. Est jugé délinquant tout paysan offrant ou échangeant des graines hors catalogue géré par Monsanto, Syngenta, DuPont, Limagrain...Ils sont 10 à contrôler la majorité des semences de la planète.

Précisions importantes sur la législation :
http://www.dailymotion.com/video/x79los_semons-la-biodiversite-2_news

Les semences paysannes sont celles que l'on ressème d'année en année, les adaptant progressivement aux méthodes de culture et aux terroirs. Elles ne sont ni des variétés " fixées ", ni des variétés " homogènes " ou " stables " comme celles inscrites dans le catalogue officiel des semences légales. Jargon juridique qui n'a aucun fondement, et dont le seul intérêt est de permettre aux jeunes multinationales(150 ans) de détruire 10 000 ans d'agriculture. Les gens aux commandes de ces tristes entreprises peuvent ainsi assouvir leur pathologique soif de monopole et de pouvoir.

Des paysans courageux et déterminés défendent en toute illégalité la biodiversité.

Extraits de "La Télévision Paysanne"
Bastion de l'information sur ce qu'il se passe dans nos campagnes.
Jetez y un œil, ça commence à chauffer...
http://www.dailymotion.com/latelevisionpaysanne

Face à la crise, pour les chanceux ayant un jardin, tâchez de les BRFiser (Cf favoris) et d'acheter des graines reproductibles, car celles de carrefour ne repoussent pas.
http://www.kokopelli.asso.fr/
http://www.biaugerme.com/
http://www.semencespaysannes.org/

Art.35 (1793) de la déclaration des droits de l'homme et du citoyen :

"Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est pour le peuple, et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs."

Réunion collectif des riverains du Ticol/Saur du 25 mars 2009

INVITATION et C.R. de la Réunion du Comité des riverains du Ticol/Saur
Le 25 Mars à 19h00, nouvelle rencontre d'une délégation de riverains du Ticol et de deux responsables (régional et local) de la Saur.
Compte rendu: Le bio filtre à été changé. Le site a eu un problème électrique apparemment dû à un manque de puissance, un artisan électricien du comité s'est proposé pour appréhender le problème. Pour palier un groupe électrogène prendra le relais. Un problème de maturation est certainement à l'origine des odeurs du mois en cours. Une prolongation de la fermentation d'une semaine semble être la solution. Le problème des mouches : traitement par insecticide, un traitement plus écologique est envisagé (pièges à mouches). Un observatoire va être créé, les personnes volontaires peuvent se faire connaître par l'intermédiaire de l'adresse courriel du blog: vivre.ensemble.castelsarrasin@gmail.com. Une formation prévue le samedi 18 avril de 8h00 à 12h00, sera assurée par un formateur d'un bureau d'études spécialisé. La domotique est envisagée pour l'ouverture et la fermeture du portail, pour limiter au maximum les effluves du local. Dans le cadre de la semaine du développement durable, une opération portes ouvertes aura lieu sur le site de la Saur au Ticol à Castelsarrasin, le Vendredi 3 Avril de 13h00 à 17h00. N'hésitez pas à venir nombreux pour mieux comprendre le fonctionnement de cet établissement...

Réunion du 19.11.08-collectif riverains Ticol/s.a.u.r.

Réunion à nouveau positive. De part la motivation des cinq représentants du collectif et la bonne volonté des deux responsables de la saur présents, le fumet du site s'estompe...D'ici le printemps prochain l'odeur ne devrait être incommodante... Reste le problème de la lagune: en cas de forte pluie le trop plein part au fossé!?...Affaire à suivre...
Des réunions par quartier pour la formation de quelques riverains volontaires, afin de reconnaître les odeurs de la plate forme de compostage, vous seront précisées ultérieurement. cliquez sur l'image pour agrandir-->
 
 
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Réunion du 18.9.08, collectif riverains du Ticol/responsable S.a.u.r.

Après différents tests techniques qui ont permis de cerner ce problème de nuisances, le responsable régional de la saur assure à la délégation du collectif des riverains,qu'il attend le financement pour commencer les travaux d'amélioration du système de ventilation du bâtiment et le ré-aménagement des surfaces du site, afin de diminuer au mieux les nuisances.
Mise en place d'une commission "observatoire des nuisances" et d'un livre de bord pour une meilleure réactivité en cas de nécessité.
Prochaine réunion le 18 novembre 2008 à 19h00

Nuisances de l'unité de bi-compostage de la SAUR

Assemblée générale constitutive

Castelsarrasin, le 29 mai 2008 Cliquez sur l'image. Les statuts ont été officialisés le 6 juin 2008

Le film à voir...

"Le pouvoir ne souhaite pas que les gens comprennent qu'ils peuvent provoquer des changements" - Noam Chomsky

cliquez sur les liens:

http://www.lesmutins.org/chomskyetcompagnie

Là-bas si j’y suis

Les Mutins de Pangée



Un autre aussi...

http://www.nosenfantsnousaccuseront-lefilm.com/

Non à la fermeture de la poste le lundi matin - clic sur le diaporama ci-dessus

Compte-rendu de notre élue:
"Lundi matin 24 novembre, six membres de l'association "Vivre Ensemble" ont pu constater que la fréquentation du bureau de poste de Castelsarrasin était régulière et nombreuse, et ce malgré le très mauvais temps qui sévissait. La plupart des usagers rencontrés déploraient cette annonce de fermeture du lundi matin qui doit prendre effet à partir du 2 décembre 2008. Pour certains même, elle posait un réel problème d'organisation. D'autres l'apprenaient et s'en étonnaient.

Il ne fut pas difficile de les inviter à signer une pétition réclamant le maintien de l'ouverture du lundi matin pour s'associer à cette revendication que tous jugeaient légitimes. Cette pétition recueillait 155 signatures, donc autant d'usagers de La poste pour ce lundi matin !
Parallèlement, notre association demande à Monsieur le Maire
d'impliquer son Conseil Municipal pour demander une révision de la décision prise par Monsieur le Directeur de la Poste de Castelsarrasin afin de défendre les intérêts des administrés.
Nous poursuivrons notre démarche jeudi 27 novembre, jour de marché ; puis munis de ce témoignage de demande collective, nous demanderons à rencontrer le Directeur de La Poste afin de tenter d'obtenir la réouverture. "

Remarque : 155 usagers en 3,5 h ; cela induit 4 min/opération d'usager. C'est un service sans discontinuité pour les 3 guichetiers. La fermeture du lundi matin alourdira l'après-midi ; le nombre de guichets ne peut-être multiplié par 2 dans notre poste! - Françoise Tardin