Le président 2011

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"Quand le gouvernement viole les droits du Peuple, l'insurrection est

pour le Peuple et pour chaque portion du peuple le plus sacré des droits,

et le plus indispensable des devoirs"

Article 35 de la Déclaration des Droits de l'Homme et du citoyen du 24 juin 1793


samedi 30 juillet 2011

Intercommunalité vue de Moissac

Ce que nous avons pu lire dans La Dépêche :
Publié le 30/07/2011 03:50   Gauvain Peleau-Barreyre

« Nous refusons le divorce avec Castelsarrasin »


La question de l'intercommunalité a fait débat lors du conseil municipalLe conseil municipal qui s'est déroulé jeudi soir était assez attendu. Ne serait-ce que pour répondre au coup de tonnerre provoqué par les élus de la ville sous-préfecture lors de leur dernière réunion du 20 juillet dernier.


En effet, le premier édile Bernard Dagen avait lancé un retentissant : « Nous demandons le divorce avec Moissac » (notre édition du 22 juillet). La réponse a cette question, certes de pure forme, est intervenue au milieu de la séance moissagaise entre le vote d'une délibération sur la mise à disposition d'un terrain communal et d'une autre sur la gestion de l'eau potable, par la voix du maire Jean-Paul Nunzi : « Nous refusons le divorce avec Castelsarrasin ».


Ne souhaitant pas se laisser éconduire de la sorte, le premier magistrat de la ville a argumenté sa position selon deux points. « Nous ne pouvons accepter parce que d'une part il y a un bassin de vie et la fin de l'intercommunalité condamnerait les services publics et les investissements dans les équipements pour les petites communes et ensuite parce que l'intercommunalité représente dix ans de travail qui seraient remis à zéro. »


Dans les mains du préfet


Les conseillers municipaux ont exprimé à leur tour, et dans une certaine unanimité, leur attachement à la communauté de communes. Pierre Guillamat, adjoint aux finances et conseiller général, a pris la parole en son nom mais aussi en celui de Guy-Michel Empociello, élu départemental et municipal, qu'il représentait. « Sous la présidence de Guy-Michel Empociello, la communauté de communes a progressé, la rupture est une faute historique, les deux villes sont indissociables, c'est la seule voie d'avenir.


Le maire de Castelsarrasin portera une lourde responsabilité d'avoir voulu et voté le divorce en prenant le risque d'imposer à tous ceux qui vivent sur le territoire une longue et onéreuse liquidation. » La volonté de rupture entre les deux entités remonte aux problèmes de perception de la taxe professionnelle unique puis s'est renforcée lors des créations de zones commerciales. Et conséquence de ces irréconciliables problèmes de couple, l'avenir de l'intercommunalité n'est plus vraiment entre les mains des deux villes.


C'est le préfet Fabien Sudry qui a récupéré le dossier et qui gère la communauté de communes. Il a ainsi réuni les deux conjoints à la préfecture pour une tentative de conciliation mardi dernier. Il aurait proposé d'adjoindre un bureau au président de la communauté de communes, Bernard Dagen, avec deux élus (un Moissagais et un Castelsarrasinois).


Élargissement à quatre nouvelles communes


Dans le cadre du schéma départemental de coopération intercommunal (CDCI), Fabien Sudry a proposé d'élargir l'intercommunalité à quatre communes isolées (Boudou, Durfort-Lacapelette, Lizac, et Montesquieu). à la fin de non-recevoir castelsarrasinoise (selon les élus cela provoquerait un déséquilibre de communes en leur défaveur), les élus moissagais ont opposé un « oui » à l'élargissement. Seuls deux élus de l'opposition se sont abstenus, estimant que se prononcer favorablement serait « aller au clash avec Castelsarrasin ».


Pour prévenir tout « clash », le maire a rappelé que d'autres projets d'élargissement de l'intercommunalité ont été proposés et étudiés. Celui de Guy-Michel Empociello par exemple qui prévoyait un grand bassin de vingt-six communes et de 50 000 habitants ou bien celui de Jean-Paul Nunzi intégrant les communes au nord de Moissac et celles au sud de Castelsarrasin.


Mais pas besoin de sortir vos cartes de géographie, pour l'heure, c'est toujours le préfet qui décide.

En ce qui concerne le groupe d'élus "Vivre Ensemble, je rappellerais le vote :
-NON à la séparation ;
-NON à l'élargissement aux seules 4 communes du Nord de Moissac ;
-OUI à un élargissement aux communes des cantons voisins de Castelsarrasin comme de Moissac pour  un bassin de vie communautaire profitable à l'ensemble de la population.
Françoise Tardin

dimanche 24 juillet 2011

Notre compte-rendu du Conseil Municipaldu 20 juillet

Compte-rendu du dernier Conseil Municipal (20 juillet 2011) par le groupe « Vivre Ensemble » :


Parmi la dizaine de délibérations de ce Conseil, nous ne rapporterons que celles pour lesquelles nous avons particulièrement réagi. Voici la teneur de nos interventions sur les sujets correspondants.

Délibération 2 : Syndicat Départemental d'Énergie du Tarn-et-Garonne.

L'article L 1425 du CGCT, datant de 2004, permet d'élargir les compétences des collectivités locales , ce qui peut paraître une disposition donnant une autonomie bienfaisante. Mais en réalité elle a pour objectif de favoriser l'intervention des collectivités locales dans l'aménagement du territoire , de donner un cadre à leurs interventions en matière de communication électronique , et ceci dans le but de pailler les insuffisances de services mis en œuvre par les opérateurs privés. En effet ceux-ci n'ont pas à répondre à une obligation de service public pour tous ; seule compte la rentabilité de leur outil de travail ; ils peuvent se dispenser de traiter les situations plus difficiles et coûteuses. Tout en regrettant la situation à laquelle nous sommes confrontés, nous approuverons cette disposition qui, nous le souhaitons, permettra de satisfaire l'ensemble des demandes des particuliers, sans oublier toutefois de rappeler qu'elle met à contribution le budget départemental.

Délibération 10 : Schéma départemental de coopération intercommunale

D'une part, nous regrettons que le conseil communautaire Castel-Moissac ne soit constitué que de délégués des majorités de chaque commune, ce qui exclut de fait d'entendre la voix des oppositions. Ce système est vraiment loin d’être démocratique et ne peut conduire qu’à la sclérose, ou à un affrontement insoluble.
D'autre part, une autre observation s'impose : la campagne électorale pour les municipales est axée sur la commune mais n’envisage quasiment jamais le lien avec la structure communautaire, donc aucun projet n’est initialement proposé aux électeurs pour se déterminer.
Aussi serions nous favorables à une élection des membres du Conseil Communautaire au suffrage direct, légitimant leur représentativité car plus proche de la diversité du corps électoral et s'appuyant sur une proposition de programme .
Castelsarrasin et Moissac ne sont pas aussi différentes que semble le penser M. le Maire de Castelsarrasin ; au contraire, ce sont deux villes semblables et complémentaires, dont les populations, sensiblement égales, ont un jour voté massivement pour unir leurs forces, leurs moyens et leurs savoir-faire, afin de mettre en œuvre des équipements collectifs semblables à ceux du chef-lieu du département, avoir ainsi un certain confort de vie et rendre le bassin attractif pour les professionnels de services (santé, éducation, culture, sport,.... ) et les industriels .
Sans oublier qu'un travail de coopération a été bien entamé avec la création d'une zone artisanale commune, le dispositif de ramassage des ordures ménagères et d'assainissement, la restauration scolaire et la réalisation de la liaison Quercy-Gascogne. Allons-nous mettre ce partenariat à terre en prenant en otage les populations concernées ?
Même si nous ne sommes pas favorables à la réforme territoriale actuellement mise en marche, nous sommes convaincus de la nécessité de réformer l'existant pour mettre en place des regroupements qui correspondent aux réalités d'aujourd'hui et un véritable dispositif démocratique de gestion des territoires.

Pour préciser nos positions de vote :
- défavorables à la proposition du Préfet (Communauté Castelsarrasin-Moissac élargie à Boudou, Montesquieu, Durfort-Lacapelette, Lizac.

- opposés à la demande de séparation de Moissac souhaitée par Mr le Maire de Castel et suivi par sa majorité.

- opposés donc à la constitution d’une communauté avec les communes des « Plaines et Terrasses des 2 cantons ». et « Serre-Garonne-Gimone » que seule Castelsarrasin rejoindrait.

Les conseillers municipaux de « Vivre Ensemble », Patrick Malphettes et Françoise Tardin

mardi 19 juillet 2011

La laïcité en danger

Communiqué


La loi de 1905 devant le Conseil d’Etat

La menace d’une dénaturation grave

La loi du 9 décembre 1905 reconnaît la liberté des cultes, interdit à l’Etat de s’immiscer dans leur fonctionnement et protège la démocratie politique des empiètements du cléricalisme. Or, ces deux fondements des libertés publiques seraient affectés en même temps si l’Assemblée du contentieux du Conseil d’Etat suivait les conclusions de son rapporteur public lors de l’audience du 1er juillet 2011.

Le Conseil d’Etat avait décidé d’examiner dans une même audience, cinq affaires ayant toutes trait au respect de la loi de 1905 : deux concernaient des avantages accordés à l’Eglise catholique (orgue de l’église Saint Pierre de Trélazé, ascenseur de la basilique de Fourvière à Lyon), les trois autres des décisions de collectivités territoriales au profit du culte musulman (abattoir de la communauté urbaine du Mans, salle polyvalente à usage cultuel de Montpellier, bail emphytéotique pour la mosquée de Montreuil-sous-Bois). Le rapporteur public n’y est pas allé par quatre chemins, il a considéré d‘emblée que les juges du fond (c’est-à-dire les Cours Administratives d’Appel) s’étaient souvent trompés et qu’il fallait réévaluer une jurisprudence trop ancienne au regard des circonstances :  il a donc proposé cinq décisions allant dans le même sens.

L’Union européenne contre la laïcité

Sur quels fondements ? Deux d’entre eux doivent particulièrement retenir l’attention des laïques et des
républicains : la constitutionnalité de la loi de 1905 et la théorie des circonstances. D’après le rapporteur public, Edouard Geffray, la loi de séparation pourrait être regardée comme inconstitutionnelle au regard des engagements internationaux de la France si elle était appliquée avec une rigueur allant à l’encontre de l’article 9 de la CEDH appliqué dans l’affaire Lautsi concernant des crucifix dans les écoles publiques italiennes. Et surtout l’application de la loi devrait tenir compte de circonstances nouvelles liées à la fois au déséquilibre à l’égard du culte musulman et à l’imbrication de pratiques cultuelles et culturelles, tant dans la valorisation du patrimoine des communes que dans les pratiques rituelles elles-mêmes.
En vertu de quoi, la technique proposée par le rapporteur public est la suivante : il y a lieu lorsque la matière
controversée est « partiellement cultuelle et partiellement culturelle » d’établir des conventions entre les collectivités publiques et les cultes délimitant leurs droits et obligations respectifs, y compris lorsque plusieurs cultes sont concernés en même temps. Ce qui aurait, de toute évidence, pour effet immédiat, d’élargir les brèches dans le mur de séparation, mais surtout soumettrait à la fois les cultes et les communes à l’obligation d’une négociation permanente.
Pour les édifices cultuels, cela signifierait de facto une désaffectation partielle et une perte des libertés afférentes, au gré des politiques culturelles ou patrimoniales des collectivités territoriales ; pour les communes et les groupements de communes, cela ferait de l’utilisation des équipements municipaux un enjeu permanent de négociation avec les différents cultes et les groupes d’intérêts associatifs et économiques qui leur sont liés.

Fédération Nationale de la Libre Pensée
Membre de l’Union Internationale Humaniste et Laïque (IHEU)
10/12 rue des Fossés-St-Jacques 75005 Paris
Tel : 01.46.34.21.50 – Fax : 01.46.34.21.84 – Courriel : Libre.Pensee@wanadoo.fr

Accommodements raisonnables ?
On aurait alors quitté le terrain de la séparation pour celui des arrangements clientélistes, c’est le régime des
« accommodements raisonnables » québécois dont le bilan est un renforcement des dérives et enfermements
communautaires. Ce serait un encouragement à l’élaboration de droits locaux en fonction des rapports de force et des affrontements qu’ils supposent. Ce serait une atteinte grave à l’unité et à l’indivisibilité de la République.
L’exigence d’une restauration de la loi du 9 décembre 1905 dans sa vigueur initiale, que la Fédération
nationale de la Libre Pensée ne cesse de proclamer, est plus que jamais d’actualité.

Paris, le 6 juillet 2011

samedi 16 juillet 2011

Prochain Conseil Municipal de Castelsarrasin : 20 juillet à18h 30

Le prochain conseil municipal est prévu le mercredi 20 juillet 2011 à 18h30.

Un ordre du jour comportant l'examen de 11 délibérations , l'une d'entre elles ayant pour objet le projet de schéma départemental de coopération intercommunale de Tarn-et-Garonne. Un débat  portant sur le devenir de l’Intercommunalité doit avoir lieu lors de ce conseil  ; il constituera l’essentiel de l’ordre du jour et devrait permettre de connaitre les intentions de la majorité municipale sur l’évolution du territoire intercommunal.
Parmi les autres points : avis sur les modifications statutaires du Syndicat départemental de l'énergie (élargissement des compétences) ; projet d'avenant au contrat d'affermage du service de l'assainissement à la Saur; révision des tarifs municipaux; ...).

Ainsi, avec Françoise, nous vous proposons de venir nombreux assister à cette réunion.

Par ailleurs, compte tenu de la période estivale et des absences des uns et des autres, et à titre tout à fait exceptionnel, il n’y aura pas de réunion préparatoire à ce conseil.

Françoise Tardin et Patrick Malphettes du groupe "Vivre Ensemble"



vendredi 15 juillet 2011

Au dernier Conseil Municipal de Castelsarrasin

Compte-rendu du dernier Conseil Municipal (jeudi 30 juin 2011)


rédigé par le groupe « Vivre Ensemble ».

Un ordre du jour très long (24 délibérations);  la séance a duré de 18 h 30 à 21 h 20.

Quelques délibérations qui ont, plus particulièrement, retenu notre attention :
  • Règlement du service municipal de restauration scolaire
Depuis 2 ans ce règlement était appliqué sans qu'il ait été présenté en CM ; nous en avions eu connaissance par des récriminations de parents gênés par sa mise en application, puis par l'information orale donnée en commission scolaire. Depuis bientôt 2 ans, nous avons eu l'occasion d'exprimer notre désaccord sur différents points de ce règlement, en particulier les conditions restrictives d'accès à la cantine de l'école, en participant à la commission « affaires scolaires » et au CCAS,. Il a fallu que des parents déposent plainte au tribunal administratif, avec le soutien de la FCPE, pour que le CM soit saisi de la question et puisse décider de l'application de ce règlement qui nous était présenté enfin par écrit. Sa lecture nous a permis de mieux appréhender l'objectif et les conséquences de sa mise en œuvre sur la gestion du temps scolaire pour les familles.
C'est parce que nous le jugeons discriminatoire que nous avons voté CONTRE cette délibération. Nos deux seuls votes négatifs n'ont pas empêché l'adoption de la délibération dont le texte pourra être analysé et jugé par les instances habilitées à vérifier le respect du droit établi par la loi.

  • Centre technique fluvial
Nous a été proposé un nouvel estimatif financier du projet et un nouveau plan de financement :
Estimation du coût global, hors option quai lourd : 4 532 000 € HT.
Autofinancement de la commune : 20 % soit près de 1 000 000€, le reste étant pris en charge par l'Europe, l'État, la Région et le Département.
Le chantier serait découpé en deux tranches pour sa réalisation , donc un 1er investissement communal s'élevant à près de 500 000 €..
Notre doute sur l'intérêt de ce projet pour notre commune nous a amené à poser questions : D'une part, « l'analyse économique du projet vient d'être remise » : mais quel est le résultat ? Pas de réponse sur ce point.
D'autre part, nous devons faire appel à la société RIO TINTO qui mettra à disposition une plate-forme et un hangar inutilisés dans le cadre de l'usine . Quel contrat entre Mairie et RIO TINTO ? Que se passera-t-il quand la société voudra vendre cette usine ? Pas de souci à se faire , c'est un bail emphytéotique de 90 ans !
Lors de la précédente présentation du projet nous avions émis quelques réticences vis à vis de l'investissement financier que nécessitait cet équipement alors que la municipalité avait décidé d'abandonner actuellement la réalisation du Centre de loisirs pour les enfants, d'un intérêt prioritaire, nous semblait-il, pour les jeunes familles de Castelsarrasin..
Notre hésitation sur ce point s'est traduit par un vote mitigé, un pour et une abstention (étant donné le scepticisme persistant de Françoise Tardin sur l'intérêt collectif du projet).

  • Aménagement de la Place du Château (suite)
La dernière partie de rénovation du quartier de la Place du Château représente un coût de 1 200 000 € environ . Elle sera faite en deux étapes : 1ère tranche de 400 000€ sera aidée par CGénéral et CRégional à hauteur de 17 %, ce qui nous laisse à charge 330 000€. La 2ème d'un coût de 790 000€ sera aidée à hauteur de 21 % soit à notre charge 622 000€.
La délibération consistait à approuver la demande des subventions diverses au titre du Contrat de pays pour 2011 et 2012.
Ayant désapprouvé le principe de l'investissement global de cette opération (coût de la rénovation = 2 900 000 € trop onéreux à notre avis, autofinancé à 85 %), nous nous sommes abstenus sur ces dernières tranches.

  • Acquisition du bâtiment Sarfati
Voilà une acquisition que certains croyaient déjà réalisée. Et bien NON !
Une présentation de la négociation à notre avantage puisque, 6 ans plus tôt, le vendeur, la société SCI ROCCO, en demandait 540 000€ et qu'aujourd'hui, il nous le laisse à 350 000€. « Que n'attendons-nous pas plus longtemps ? Nous l'aurions eu pour l'euro symbolique », ironise Patrick Malphettes. De plus la délibération précise : "Il (le bâtiment) se compose de trois grandes salles ou ateliers, bureaux, sanitaires et locaux techniques et sociaux en bon état ; le chauffage est assuré par aérothermes dans les ateliers et par radiateurs dans les bureaux (chaudière neuve) ; la toiture a été refaite par l'actuel propriétaire ainsi que le désamiantage et la peinture des façades."   Hélas quand on longe la clôture de l'enceinte on peut douter de la véracité de toutes ces affirmations, étant donné l'état défraîchi du mur de façade.

C'est dans ces bâtiments que devraient venir s'installer les ateliers municipaux, les services de l'Eau et peut-être ceux de l'Urbanisme.
N'oublions que nous avons voté dernièrement la construction par la commune d'un nouveau bâtiment pour permettre l'agrandissement de l'usine Pyrolave, entreprise gèrée par SCI ROCCO à qui nous octroyons un crédit-bail pour l'occupation des locaux communaux et leur acquisition finale.

La commune de Castelsarrasin participe largement au développement économique de son territoire . Mais nous pouvons nous poser des questions telles que : qui en profite vraiment ? combien d'emplois nouveaux créés ? La taxe professionnelle n'existant plus a-t-on toujours intérêt à aider grassement l'implantation d'entreprises ? D'autres maires, de droite comme de gauche, se posent la question …


  • Règlement local de publicité
Déposé en mairie, peut être consulté.
Un ensemble de règles d'affichage répondant aux critères environnementaux définis dans les lois Borlo. Il paraîtra un peu contraignant mais c'est un dispositif légal qui améliore le cadre de vie de tous en limitant la pollution visuelle. Nous avons jugé bon de l'approuver.

A la question : « de quels outils la commune disposera-t-elle pour le faire appliquer ? » La réponse a été : « ce seront les ASVP qui en seront chargés. »

A la question : « ne pourrions nous pas installer d'autres panneaux d'affichage libre pour permettre les publicités concernant les fêtes de quartier ou autres rendez-vous populaires sur la commune ? », la réponse a été: « nous en avons déjà remis plus qu'il n'y en avait ; leur usage est parfois irrespectueux.  ...Enfin nous verrons».

En suivant, nous avions à nous prononcer sur l'instauration de la taxe locale sur la publicité extérieure et sa tarification. C'est un dispositif national nouveau nous a-t-on confirmé.

En déplorant l'imposition d'une nouvelle charge pour les activités commerciales (qui se répercutera sur le consommateur en bout de chaîne), nous nous sommes abstenus.


  • Modification des tarifs municipaux
+ 2% pour les inscriptions à l'école de musique ; + 2% pour les repas de la cuisine centrale à destination des scolaires en particulier.

Nous nous sommes abstenus, ne souhaitant pas cautionner ces augmentations de services publics destinés aux enfants alors que nous sommes dans une période de difficultés budgétaires familiales.

  • Subventions aux associations

Reconduites pour la plupart sans nuances.
Nous avons signifié notre mécontentement de n'avoir pu exprimer, en commission, quelque souhaits d'aménagement de ces subventions pour mieux répondre aux besoins de quelques associations à vocation plus sociales que d'autres ou touchant un public castelsarrasinois plus large : nous nous sommes abstenus.

Françoise Tardin et Patrick Malphettes

Vu sur Dailymotion: Biodiversité interdite ! Résistance Paysanne

Les graines naturelles sont hors la loi ! Un paysan n'est pas autorisé à en commercialiser les fruits et légumes. Est jugé délinquant tout paysan offrant ou échangeant des graines hors catalogue géré par Monsanto, Syngenta, DuPont, Limagrain...Ils sont 10 à contrôler la majorité des semences de la planète.

Précisions importantes sur la législation :
http://www.dailymotion.com/video/x79los_semons-la-biodiversite-2_news

Les semences paysannes sont celles que l'on ressème d'année en année, les adaptant progressivement aux méthodes de culture et aux terroirs. Elles ne sont ni des variétés " fixées ", ni des variétés " homogènes " ou " stables " comme celles inscrites dans le catalogue officiel des semences légales. Jargon juridique qui n'a aucun fondement, et dont le seul intérêt est de permettre aux jeunes multinationales(150 ans) de détruire 10 000 ans d'agriculture. Les gens aux commandes de ces tristes entreprises peuvent ainsi assouvir leur pathologique soif de monopole et de pouvoir.

Des paysans courageux et déterminés défendent en toute illégalité la biodiversité.

Extraits de "La Télévision Paysanne"
Bastion de l'information sur ce qu'il se passe dans nos campagnes.
Jetez y un œil, ça commence à chauffer...
http://www.dailymotion.com/latelevisionpaysanne

Face à la crise, pour les chanceux ayant un jardin, tâchez de les BRFiser (Cf favoris) et d'acheter des graines reproductibles, car celles de carrefour ne repoussent pas.
http://www.kokopelli.asso.fr/
http://www.biaugerme.com/
http://www.semencespaysannes.org/

Art.35 (1793) de la déclaration des droits de l'homme et du citoyen :

"Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l'insurrection est pour le peuple, et pour chaque portion du peuple, le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs."

Réunion collectif des riverains du Ticol/Saur du 25 mars 2009

INVITATION et C.R. de la Réunion du Comité des riverains du Ticol/Saur
Le 25 Mars à 19h00, nouvelle rencontre d'une délégation de riverains du Ticol et de deux responsables (régional et local) de la Saur.
Compte rendu: Le bio filtre à été changé. Le site a eu un problème électrique apparemment dû à un manque de puissance, un artisan électricien du comité s'est proposé pour appréhender le problème. Pour palier un groupe électrogène prendra le relais. Un problème de maturation est certainement à l'origine des odeurs du mois en cours. Une prolongation de la fermentation d'une semaine semble être la solution. Le problème des mouches : traitement par insecticide, un traitement plus écologique est envisagé (pièges à mouches). Un observatoire va être créé, les personnes volontaires peuvent se faire connaître par l'intermédiaire de l'adresse courriel du blog: vivre.ensemble.castelsarrasin@gmail.com. Une formation prévue le samedi 18 avril de 8h00 à 12h00, sera assurée par un formateur d'un bureau d'études spécialisé. La domotique est envisagée pour l'ouverture et la fermeture du portail, pour limiter au maximum les effluves du local. Dans le cadre de la semaine du développement durable, une opération portes ouvertes aura lieu sur le site de la Saur au Ticol à Castelsarrasin, le Vendredi 3 Avril de 13h00 à 17h00. N'hésitez pas à venir nombreux pour mieux comprendre le fonctionnement de cet établissement...

Réunion du 19.11.08-collectif riverains Ticol/s.a.u.r.

Réunion à nouveau positive. De part la motivation des cinq représentants du collectif et la bonne volonté des deux responsables de la saur présents, le fumet du site s'estompe...D'ici le printemps prochain l'odeur ne devrait être incommodante... Reste le problème de la lagune: en cas de forte pluie le trop plein part au fossé!?...Affaire à suivre...
Des réunions par quartier pour la formation de quelques riverains volontaires, afin de reconnaître les odeurs de la plate forme de compostage, vous seront précisées ultérieurement. cliquez sur l'image pour agrandir-->
 
 
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Réunion du 18.9.08, collectif riverains du Ticol/responsable S.a.u.r.

Après différents tests techniques qui ont permis de cerner ce problème de nuisances, le responsable régional de la saur assure à la délégation du collectif des riverains,qu'il attend le financement pour commencer les travaux d'amélioration du système de ventilation du bâtiment et le ré-aménagement des surfaces du site, afin de diminuer au mieux les nuisances.
Mise en place d'une commission "observatoire des nuisances" et d'un livre de bord pour une meilleure réactivité en cas de nécessité.
Prochaine réunion le 18 novembre 2008 à 19h00

Nuisances de l'unité de bi-compostage de la SAUR

Assemblée générale constitutive

Castelsarrasin, le 29 mai 2008 Cliquez sur l'image. Les statuts ont été officialisés le 6 juin 2008

Le film à voir...

"Le pouvoir ne souhaite pas que les gens comprennent qu'ils peuvent provoquer des changements" - Noam Chomsky

cliquez sur les liens:

http://www.lesmutins.org/chomskyetcompagnie

Là-bas si j’y suis

Les Mutins de Pangée



Un autre aussi...

http://www.nosenfantsnousaccuseront-lefilm.com/

Non à la fermeture de la poste le lundi matin - clic sur le diaporama ci-dessus

Compte-rendu de notre élue:
"Lundi matin 24 novembre, six membres de l'association "Vivre Ensemble" ont pu constater que la fréquentation du bureau de poste de Castelsarrasin était régulière et nombreuse, et ce malgré le très mauvais temps qui sévissait. La plupart des usagers rencontrés déploraient cette annonce de fermeture du lundi matin qui doit prendre effet à partir du 2 décembre 2008. Pour certains même, elle posait un réel problème d'organisation. D'autres l'apprenaient et s'en étonnaient.

Il ne fut pas difficile de les inviter à signer une pétition réclamant le maintien de l'ouverture du lundi matin pour s'associer à cette revendication que tous jugeaient légitimes. Cette pétition recueillait 155 signatures, donc autant d'usagers de La poste pour ce lundi matin !
Parallèlement, notre association demande à Monsieur le Maire
d'impliquer son Conseil Municipal pour demander une révision de la décision prise par Monsieur le Directeur de la Poste de Castelsarrasin afin de défendre les intérêts des administrés.
Nous poursuivrons notre démarche jeudi 27 novembre, jour de marché ; puis munis de ce témoignage de demande collective, nous demanderons à rencontrer le Directeur de La Poste afin de tenter d'obtenir la réouverture. "

Remarque : 155 usagers en 3,5 h ; cela induit 4 min/opération d'usager. C'est un service sans discontinuité pour les 3 guichetiers. La fermeture du lundi matin alourdira l'après-midi ; le nombre de guichets ne peut-être multiplié par 2 dans notre poste! - Françoise Tardin