Non ?
Si.
De fait : il manque la vraie gauche, dont Le Monde, par cette omission, nous signifie qu’elle n’a rien à faire dans « la présidentielle de 2012 ».
Plus précisément, nous l’allons voir : cet incommodant éditorial (dont l’auteur(e), comme d’hab, se planque sous un courageux anonymat), n’est là que pour trier le bon grain de la bonne « gauche », dûment soumise aux marchés, de l’ivraie d’une gauche infréquentable - qui pousse l’effronterie jusqu’à défendre les « services publics », et dont Le Monde va dès lors nous montrer, par des procédés que n’eût pas reniés la feue Правда, qu’elle pue très fort l’extrême droite.
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